A cause de la piraterie informatique, certaines publications que j’ai publiées sur internet n’apparaissent pas. J’ai des preuves que des documents que j’ai publiés dans la page Facebook n’apparaissent pas au public, même si elles sont en mode public. J’espère que vous pourrez accéder à tout le contenu de ces pages internet.
Dans sa requête du 18 Août 2015, Amal Hicham répond à la requête que Khalil Zouhari a déposée le 3 Août 2015. Elle demande que Khalil Zouhari arrête de dire de fausses informations. Elle explique que Khalil Zouhari lui a fait de la pression pour qu’elle signe une entente de divorce, ou il y a de fausses informations.
Amal Hicham explique que la requête déposée par Khalil Zouhari le 3 Août 2015, n’est pas fondée en droit. Elle demande que cette requête, ou il y a des parjures et des fausses informations soit rejetée. Elle demande à interroger Khalil Zouhari sur les faits qu’il avance dans sa requête du 3 Août, et sur les faits qu’il avance dans sa requête introductive du 29 janvier 2015.
Amal Hicham donne des exemples de mensonges et de parjures qu’il y a dans la requête de Khalil Zouhari. Elle explique au tribunal dans sa requête que Khalil Zouhari l’a intimidée et a essayé de l’empêcher de passer du temps avec ses enfants. Elle explique aussi que le fait que Khalil Zouhari demande au tribunal de valider les mensonges qu’il a dits aux impôts, est contre la loi.
Amal Hicham démontre dans sa requête comment Khalil Zouhari dit des choses et leur contraire, et prouve lui-même qu’il ment. Amal Hicham explique que la loi P38 n’a jamais été appliquée contre elle, comme le prouve le rapport de police fait le 12 décembre 2013. Ce jour, elle allait voyager pour parler à la presse. Khalil Zouhari a appelé la police, a dit de fausses informations, et elle a été illégalement empêchée de voyager.
Comme vous pouvez le voir dans sa requête, Amal Hicham, met en évidence plusieurs autres parjures de Khalil Zouhari. Malgré les preuves qu’elle avance, Khalil Zouhari a déposé un affidavit le 19 Août, ou il écrit à nouveau que ce qu’il a dit dans sa requête est vrai. Cette attitude, ou il montre qu’il ne craint pas de mentir à la cour, s’expliquera par la suite, avec les preuves que ses avocats dictent des ordonnances à faire à la juge Tessier.
Dans sa requête du 18 Août (point 27), Amal Hicham, mentionne le rapport du 12 décembre 2013, et démontre, preuve à l’appui que la loi P38 n’a pas été appliquée. Cela prouve que Khalil Zouhari ne dit pas la vérité lorsqu’il déclare que la loi P38 a été appliquée (point 10 de sa requête du 3 Août). Malgré cette preuve, Khalil Zouhari déclare à nouveau dans son affidavit du 19 Août que ce qu’il dit est vrai.
Voici ci-joint le rapport de police du 12 décembre 2013 qui prouve que Khalil Zouhari a dit de fausses informations à la police et au tribunal...