Près de deux ans après les attentats du 13 novembre à Paris et à Saint-Denis, François Molins a fait le point sur les avancées de l'enquête. Interrogé sur France Info, le procureur de Paris, qui admet "des zones d'ombre dans les dossiers", espère "que l'arrestation de certaines personnes, si elles acceptent de coopérer et de parler, pourra apporter des éléments positifs et des clés de lecture supplémentaires pour comprendre tout ce qu'il s'est passé". Selon lui, ces témoignages pourraient notamment être utiles pour "éclairer soit le rôle de certains qu'on cherche et qu'on continue à chercher aujourd'hui, soit l'organisation de cette association terroriste et toutes les activités criminelles qui ont été les siennes".