Quelques années après l’obtention de leur diplôme, un nombre croissant de jeunes commissaires-priseurs choisissent de créer leur propre structure. Cette tendance s’explique en partie par la facilité qu’offrent les outils numériques, qui permettent de réduire considérablement les coûts d’installation et de fonctionnement. Par ailleurs, le paysage de se métier évolue avec une féminisation et une meilleure répartition territoriale.