A partir du mardi 10 mars commence l’examen à l’Assemblée nationale d’une loi très discutée, portant sur le droit des malades en fin de vie. Ce texte, qui vient compléter la loi Léonetti de 2005, prévoit notamment de rendre les directives anticipées, dans lesquelles sont exprimées les souhaits concernant la fin de vie, opposables devant les tribunaux. Le sociologue Tanguy Châtel nous explique les enjeux de cette proposition.