Exit le 1.8 essence de 140 ch. Opel inaugure un inédit 1.4 de puissance équivalente. La consommation passe ainsi sous la barre des 6l au 100 et le Co2 passe en zone neutre. Hélas, la boîte de vitesse n'est pas à la hauteur de ce moteur. Celle-ci vient en effet perturber les balades sur routes vallonnées. Un peu moins agile, l’Astra se révèle toutefois plus confortable que son ainée.Les cotes revues à la hausse ne profitent pas à l’habitabilité. Toutefois, l’espace offert reste correct pour la catégorie. L’accoudoir central avant proposé sur les versions haut de gamme complique l’accès à la place centrale. Notez que le troisième appuie-tête et l’accoudoir arrière sont uniquement proposés dans un pack, facturé 150€. Le coffre de l’Astra conserve ses proportions. Le volume est donc toujours dans la moyenne de la catégorie. Pour 60 euros, Opel propose un plancher réglable sur 2 hauteurs. En position haute, dans l’alignement du seuil, il facilite le chargement. Et une fois le dossier des banquettes rabattus, permet d’obtenir une surface quasi-plane. Passons à la note. La nouvelle Astra affiche un rapport prix/équipement nettement plus compétitif que sa devancière. A motorisation et équipement équivalent, elle coûte 1000 euros de moins. Ce qui la rend de fait plus attractive que ses rivales, françaises notamment. Tarifs à partir de 16 700 euros en essence et 19 400 euros en diesel.